Un vin vivant, tout comme son dégustateur, sont soumis au passage du temps, au goût du jour et à mille autres petits indicateurs périphériques subtils, dont les combinaisons sont heureusement indénombrables. Nous lisons, entendons, écoutons bien des commentaires du plus savant au plus sensible, du plus inspiré au plus mondain, et chacun apporte son éclat à la vie du vin. Ce sont les points de vue de coulisse qui nous intéressent ici. Ceux de la première loge, occupée par les employés de Fonroque. Car la familiarité agit comme un révélateur de paysages patiemment approfondis. Elle amène une irremplaçable connaissance des détails et la saveur unique que dégage l’amour pour son travail.